Spectacle

Danser dans mon petit salon sans me poser de questions

Détachement international du muerto coco

Poésie documentaire dite et dansée

Maxime Potard s’est façonné un solo sur mesure autour des stéréotypes de genre, où l’intime et le sociétal se télescopent.

Derrière l’apparente innocence du titre se cache toute l’intention fondatrice de l’œuvre de s’affranchir des injonctions à la virilité mais aussi la nécessité de se savoir et de s’affirmer libre.

Pendant plus d’un an, Maxime Potard est parti à la rencontre de personnes croisées au hasard des rues ou invitées à échanger sur le sujet. De leurs témoignages, il tire le fil d’une écriture du réel, qui mêle expériences personnelles, autofiction et paroles d’inconnu.e.s. Un poème qui se fabrique comme une pensée en mouvement. Une poésie qui se dit et qui se danse. En costard ou en culottes en dentelles (pour hommes, bien sûr), sur un canapé, posé au milieu des gens, dehors.

Une divagation documentaire, en somme. Peut-être, une exploration des contours du concept de norme et de masculinité. Ou, juste une belle comédie musicale !

Sous ses airs candides, la pièce nous invite à danser avec les concepts et les idées et laisse ouverte la perspective d’un autre monde.

Conception et interprétation Maxime Potard|Texte Maxime Potard et les interviewé·e·s|Regard extérieur & chorégraphique Leonardo Montecchia|Régie et construction Loïc Lavaut |Regards complices Marc Prépus, Raphaëlle Bouvier, Paola Rizza|Costumes Julie Honoré, Virginie Breger, Madeleine Bourgeois, Lara Guéret|Confections scéniques Adèle Boré Juteau, Nana Knödler|Création lumière Julien Sabato |Regard musical Roman Gigoi, Thomas Koenig |Chorégraphe [en alternance] Julien Dégremont | Production Charles Bodin

Production : le Détachement international du Muerto Coco Coproduction : Théâtre Joliette, scène conventionnée art et création – expressions et écritures contemporaines (13) ; Pôle arts de la scène – Friche la Belle de Mai (13) ; Théâtre Passerelle, scène nationale Gap / Alpes du Sud (05) ; Le Citron Jaune, centre national des arts de la rue et de l’espace public (13) ; L’Atelline – Scène conventionnée d’intérêt national (34) ; L’Abattoir, centre national des arts de la rue et de l’espace public (71) ; Superstrat, parcours d’expérience artistique (42). Avec le soutien : La Cave Poésie René-Gouzenne (31) ; l’Université de Montpellier (34) ; Animakt, lieu de fabrique des arts de la rue, du cirque et d’ailleurs (91) ; Le Centre culturel de Cucuron Vaugines (84) ; Le Klap – Maison pour la danse (13) ; L’Amicale laïque Tardy (42) ; Lieux publics, centre national des arts de la rue et de l’espace public & pôle européen de production (13). Subventionné par : DRAC Paca ; Région Sud ; Département des Bouches du Rhône ; Ville de Marseille ; SACD / DGCA / La Copie Privée – Ecrire pour la rue. Le Muerto Coco est accompagné en administration et en production par LO BOL – Comptoir du spectacle.

En co-accueil avec le festival Magdalena Montpellier 2023

Mer 27 Sept. 19h30

Tout public à partir de 12 ans – 1h20 suivi d’une boum

Gratuit – Sur réservation (jauge limitée)

Accès :  Ligne 1 du tram – Arrêt Comédie ou Corum

Covoiturage : https://covievent.org/

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